Organes: Poumon, type non à petites cellules - Spécialités: Chimiothérapie
Daiichi Sankyo Pharma MAJ Il y a 4 ans

Étude DS1205-A-U101 : étude de phase 1 évaluant la sécurité et la tolérance du DS-1205c en association avec de l’osimertinib chez des patients ayant un cancer du poumon non à petites cellules avec mutation du récepteur du facteur de croissance épidermique métastatique ou non résécable. Le cancer du poumon se développe à partir de cellules situées dans le poumon et qui se sont multipliées de manière anormale pour former une masse ou une tumeur. Le cancer du poumon non à petites cellules est le type de cancer du poumon le plus fréquent, représentant 85 à 90 % de l’ensemble des cancers du poumon. L’ajout de DS-1205c pourrait permettre de rétablir la sensibilité de la tumeur aux traitements tels que l’osimertinib, comme démontré dans des études non cliniques. L’objectif de cette étude est d’évaluer la sécurité et la tolérance du DS-1205c associé à de l’osimertinib chez des patients ayant un cancer du poumon non à petites cellules avec mutation du récepteur du facteur de croissance épidermique métastatique ou non résécable. L’étude se déroulera en 2 étapes : Durant la première étape, tous les patients recevront du DS-1205c seul 2 fois par jour pendant 4 jours pendant la période de préinclusion de 7 jours en l’absence de progression de la maladie ou d’intolérance au traitement. Les patients recevront ensuite du DS-1205c 2 fois par jour associé à de l’osimertinib 1 fois par jour. La dose du DS-1205c sera régulièrement augmentée par groupes de patients afin de déterminer la dose la mieux adaptée à administre lors de la deuxième étape. Le traitement sera répété toutes les 3 semaines jusqu’à progression de la maladie ou intolérance au traitement. Durant la deuxième étape, tous les patients recevront du DS-1205c 2 fois par jour à la dose la mieux adaptée déterminée lors de la première étape associé à de l’osimertinib 1 fois par jour. Le traitement sera répété toutes les 3 semaines jusqu’à progression de la maladie ou intolérance au traitement. Les patients seront revus 7 jours après la fin du traitement à l’étude puis tous les 3 mois.

Essai ouvert aux inclusions
Merck-Serono MAJ Il y a 4 ans

Étude MS200647-0024 : étude de phase 1b-2 randomisée évaluant la sécurité et l’efficacité du M7824 associé à une chimiothérapie chez des patients ayant un cancer bronchique non à petites cellules de stade 4. Le cancer du poumon se développe à partir de cellules situées dans le poumon et qui se sont multipliées de manière anormale pour former une masse ou une tumeur. Le cancer du poumon non à petites cellules (CPNPC) est un type de cancer du poumon, qui se différencie du cancer du poumon à petites cellules (CPPC) par la manière dont les cellules tumorales apparaissent au microscope. Le cancer du poumon non à petites cellules est le type de cancer du poumon le plus fréquent, qui représente 85 à 90% de l’ensemble des cancers du poumon. Il y a plusieurs possibilités de traitement, selon le type et le stade du cancer : la chirurgie, la radiothérapie, la chimiothérapie, les thérapies ciblées, et l’immunothérapie, parmi lesquelles le durvalumab est actuellement indiqué en monothérapie dans le traitement de certains cancers bronchiques non à petites cellules. Les chimiothérapies classiques, telles que la carboplatine, le cisplatine, le nab-paclitaxel et la gemcitabine, sont des traitements généraux dit aussi systémiques car ils reposent sur l’administration de médicaments anticancéreux qui circulent et agissent dans l’ensemble du corps. Cela permet d’atteindre les cellules cancéreuses quelle que soit leur localisation, même si elles sont isolées et n’ont pas été détectées lors du diagnostic. Les médicaments de chimiothérapie détruisent les cellules cancéreuses en agissant sur leurs mécanismes de multiplication. Certaines cellules cancéreuses ont la capacité d’échapper aux défenses immunitaires qui protègent l’organisme. Les immunothérapies constituent un développement majeur pour les traitements anticancéreux, car elles sont capables de stimuler et de mobiliser le système immunitaire du patient contre la tumeur. Le M7824 est un traitement qui se lie à une protéine des cellules cancéreuses et les empêche ainsi d’échapper au système immunitaire. L’objectif de cette étude est d’évaluer la sécurité et l’efficacité du M7824 associé à une chimiothérapie chez des patients ayant un cancer bronchique non à petites cellules de stade 4. Les patients seront répartis en 4 groupes. Les patients du 1er groupe recevront du cisplatine ou du carboplatine toutes les 3 semaines jusqu’à 4 cures, associé à du pémétrexed et du M7824, toutes les 3 semaines jusqu’à 35 cures. Le traitement sera répété en l’absence de progression ou d’intolérance au traitement. Les patients du 2ème groupe recevront du carboplatine et du nab-paclitaxel 1 fois par semaine pendant 3 semaines, répété toutes les 3 semaines jusqu’à 4 cures, associé à du M7824, toutes les 3 semaines jusqu’à 35 cures. Le traitement sera répété en l’absence de progression ou d’intolérance au traitement. Les patients du 3ème groupe recevront du cisplatine ou du carboplatine et de la gemcitabine 1 fois par semaine pendant 2 semaines, répété toutes les 3 semaines jusqu’à 4 cures, associé à du M7824, toutes les 3 semaines jusqu’à 35 cures. Le traitement sera répété en l’absence de progression de la maladie ou d’intolérance au traitement. Les patients du 4ème groupe recevront du docétaxel, toutes les 3 semaines jusqu’à 4 cures associé à du M7824, toutes les 3 semaines jusqu’à 35 cures. Le traitement sera répété en l’absence de progression de la maladie ou d’intolérance au traitement. Les patients seront suivis pendant une durée maximale de 33 mois.

Essai ouvert aux inclusions
AbbVie MAJ Il y a 4 ans

Étude M11-089 : étude de phase 3, randomisée, en double aveugle, comparant l’efficacité et la tolérance d’un traitement comprenant du veliparib, du carboplatine et du paclitaxel par rapport à un traitement comprenant placebo, carboplatine et du paclitaxel, chez des patients ayant un cancer bronchique non à petites cellules (CBNPC) épidermoïde avancé ou métastatique non traité antérieurement. [essai clos aux inclusions] L’objectif de cette étude est de comparer l’efficacité et la tolérance d’un traitement comprenant du veliparib, du carboplatine et du paclitaxel par rapport à un traitement comprenant placebo, carboplatine et du paclitaxel, chez des patients ayant un cancer bronchique non à petites cellules épidermoïde avancé ou métastatique non traité antérieurement. Les patients seront répartis de façon aléatoire en deux groupes : Les patients du premier groupe recevront une chimiothérapie à base de carboplatine et paclitaxel administrée en perfusion intraveineuse le premier jour de chaque cure, associé à des comprimés de veliparib adminitrés deux jours avant l’administration de la chimiothérapie pendant sept jours. Ces traitement seront répétés toutes les trois semaines jusqu’à la rechute ou l’intolérance. Les patients du deuxième groupe recevront du carboplatine et du paclitaxel selon les mêmes modalités que dans le premier groupe, mais le veliparib sera remplacé par un placebo. Dans le cadre de cette étude, ni le patient, ni le médecin ne connaitront le type de traitement attribué (veliparib ou placebo).

Essai clos aux inclusions
Bristol Myers Squibb (BMS) MAJ Il y a 4 ans

Étude CA209-722 : étude de phase 3b randomisée comparant l’efficacité du nivolumab en association avec du pémétrexed ou un traitement à base de platine ou du nivolumab en association avec de l’ipilimumab avec celle du pémétrexed en association avec un traitement à base de platine chez des patients ayant un cancer du poumon non à petites cellules de stade 4 ou récidivant avec une mutation de l’EGFR, T790M négatif. Le cancer du poumon se développe à partir de cellules situées dans le poumon qui se sont multipliées de manière anormale pour former une masse ou une tumeur. Le cancer du poumon non à petites cellules est le type de cancer du poumon le plus fréquent, représentant 85 à 90 % de l’ensemble des cancers du poumon. Le nivolumab est un médicament stimulant le système immunitaire des patients qui a montré une activité anticancéreuse sur plusieurs types de tumeurs. L’objectif de cette étude est de comparer l’efficacité du nivolumab en association avec du pémétrexed ou un traitement à base de platine ou du nivolumab en association avec de l’ipilimumab avec celle du pémétrexed en association avec un traitement à base de platine chez des patients ayant un cancer du poumon non à petites cellules de stade 4 ou récidivant avec une mutation de l’EGFR, T790M négatif. Les patients seront répartis de façon aléatoire en 3 groupes. Les patients du 1er groupe recevront du nivolumab associé, soit au pémétrexed et au cisplatine, soit au pémétrexed et au carboplatine. Le traitement sera répété toutes les 3 semaines jusqu’à 4 cures, en l’absence de progression ou d’intolérance au traitement. Les patients pourront ensuite continuer le traitement par nivolumab at pémétrexed pendant 2 ans, en l’absence de progression de la maladie ou d’intolérance au traitement. Les patients du 2ème groupe recevront du nivolumab toutes les 2 semaines, associé à l’ipilimumab toutes les 6 semaines pendant 2 ans, en l’absence de progression ou d’intolérance au traitement. Les patients du 3ème groupe recevront du pémétrexed associé au cisplatine ou au carboplatine. Le traitement sera répété toutes les 3 semaines jusqu’à 4 cures, en l’absence de progression ou d’intolérance au traitement. Les patients pourront ensuite continuer le traitement par pémétrexed en monothérapie jusqu’à 2 ans en l’absence de progression de la maladie ou d’intolérance au traitement. Tous les patients passeront un examen par tomodensitométrie (TDM) ou imagerie par résonance magnétique (IRM) toutes les 6 semaines à partir de la 7e semaine de traitement puis toutes les 12 semaines à partir de la 49e semaine jusqu’à progression de la maladie ou arrêt du traitement. Les patients seront suivis par téléphone tous les 3 mois après l’arrêt du traitement à l’étude.

Essai ouvert aux inclusions

ARC-1 : étude évaluant une approche sensorielle des modifications alimentaires induites par une chimiothérapie, chez des patients ayant un cancer du poumon. [essai clos aux inclusions] Les progrès de la médecine permettent aujourd’hui de proposer aux patients des traitements de mieux en mieux adaptés aux différents stades de la maladie, notamment par la chimiothérapie qui consiste à administrer des médicaments anticancéreux. Si l’efficacité de la chimiothérapie a été largement démontrée, elle implique des évènements indésirables chez le patient : anorexie, fatigue, altération de l’odorat, nausées… Ces complications peuvent être liées aux modifications des perceptions gustatives (le goût) et olfactives (l’odorat). Elles sont toutes plus ou moins liées à un affaiblissement de l’organisme causé par une « dénutrition ». L’objectif de cette étude est de mieux comprendre l’impact d’un traitement par chimiothérapie sur les perceptions sensorielles chez des patients ayant un cancer des poumons, et donc de pouvoir à terme, formuler des recommandations alimentaires à partir des résultats observés dans le but de maintenir un bien-être alimentaire du patient pendant le traitement. Les personnes participant à l’étude seront réparties en 2 groupes en fonction de leur statut : les patients ayant un cancer bronchique et les sujets contrôles sains. Lors de la visite de sélection, un carnet de suivi sera remis aux personnes participant à l’étude (patients et sujets contrôles) pour y rapporter les médicaments pris et/ou les maladies survenues pendant l’étude. Au cours d’une première visite, avant le début du traitement pour les patients, 3 tests sensoriels seront proposés aux patients et sujets contrôles : - Le Sniffin’ Sticks : choix de stimulus odorant parmi trois dont un seul est odorant, - l’ETOC : 16 blocs de 4 flacons dont un seul contient une odeur, - le Taste strips : placer sur la langue des languettes de papier filtre imprégnées de solutions salée, sucrée, acide et amère pour en identifier l’intensité, l’agréabilité etc. Les patients et sujets contrôles répondront à un questionnaire sur leurs habitudes et pratiques alimentaires. Les patients recevront leur chimiothérapie à base de sels de platine. Les différents tests seront de nouveau réalisés au moment de la 3ème cure de la chimiothérapie, 6 semaines plus tard, lors d’une 2ème visite pour les patients et les sujets contrôles. Les patients seront, quant à eux, suivis les procédures habituelles du centre pour leur pathologie.

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Ability Pharmaceuticals MAJ Il y a 4 ans

Étude Endoluung : étude de phase 1-2, évaluant l'efficacité et la tolérance de l'ABTL0812 en association avec le paclitaxel et le carboplatine, chez des patients ayant un cancer endométrial avancé ou un cancer du poumon non à petites cellules. Le cancer se développe à partir de cellules normales qui se multiplient de manière anormale pour former une masse ou une tumeur. Le cancer de l'endomètre est la 4e cause de cancer chez la femme en France. L'endomètre est le revêtement intérieur de la paroi du corps de l'utérus, la partie de l'utérus où se déroule la grossesse. Le plus souvent, les cancers de l'endomètre prennent naissance à partir d'une cellule de la première couche de l'endomètre, l'épithélium. Ils sont alors qualifiés de carcinomes Le cancer du poumon non à petites cellules représente 85 à 90 % de l’ensemble des cancers du poumon, 4e cause des cancers les plus fréquents en Europe. Il se différencie du cancer du poumon à petites cellules par la manière dont les cellules tumorales apparaissent au microscope. Les trois principaux types de cancers du poumon non à petites cellules sont les carcinomes épidermoïdes, les adénocarcinomes et les carcinomes du poumon à grandes cellules. Le traitement de ces cancers repose sur la chirurgie, la radiothérapie, la chimiothérapie, l'hormonothérapie et la thérapie ciblée. L’ABTL0812 est une petite molécule qui active des récepteurs PPAR et le gène TRIB, entrainant l’inhibition de la croissance tumorale qui est excessivement activée dans la plupart des cancers humains. Le paclitaxel et la carboplatine agissent en ralentissant ou en bloquant la croissance des cellules cancéreuses afin de pouvoir les détruire. L’objectif de cette étude est d’évaluer l'efficacité et la sécurité de l’ABTL0812 en association avec du paclitaxel et du carboplatine chez des patients ayant un cancer de l'endomètre de stade avancé ou un cancer du poumon non à petites cellules squameux. L’étude se déroulera en 2 phases. La 1ère phase comprendra 2 étapes : * Lors de la 1ère étape, les patients recevront de l’ABTL0812 PO seul pendant 7jours. La dose du ABTL0812 sera régulièrement augmentée par groupe de patient afin de déterminer la dose la mieux adaptée à administrer lors de la deuxième étape. Puis les patients recevront de l ’ABTL0812 en association avec du paclitaxel et carboplatine. Le traitement sera répété jusqu’à 8 cures en l’absence de progression et d’intolérance au traitement. * Lors de la 2ème étape, les patients recevront de l’ABTL0812 seul, à la dose la mieux adaptée établie lors de la première phase, 3 fois par jour. Le traitement sera répété pendant au moins 12 mois en l’absence de progression ou d’intolérance au traitement. Lors de la 2ème phase, les patients recevront de l’ABTL0812 seul à la dose la mieux adaptée établie lors de la 1ère étape, en association avec du paclitaxel et du carboplatine. Le traitement sera répété jusqu’à 8 cures en l’absence de progression ou d’intolérance au traitement. Les patients seront suivis pendant une durée maximale de 24 mois après le début de l’étude.

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